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jeudi 23 août 2012

C'est le monde de ce temps: Alors, où sont tous les fantômes et les étrangers?

Chaque semaine Joshua Fruhlinger contribue C’est le monde de ce temps, une colonne dédiée à la découverte de la enlightenment de la technologie de consommation.

DNP C'est le monde de ce temps Alors, où sont tous les fantômes et les étrangers

> J’aime les drive-in theatre et les livres sur les fantômes et les étrangers, notamment les and anciens d’une époque où la technologie ne permettait pas trop d’effets spéciaux. Pour moi, c’est ce que vous ne voyez pas que me fout.

scène Scariest

jamais? George C. Scott, au centre du cadre, s’approche d’un escalier en 1980, “The Changeling”. Vous le voyez à partir d’un atterrissage ci-dessus, un point of view de voyeurisme avec rail en bois en champ proche. Le concentration passe à ses yeux. Comme il se dirige vers les escaliers, ils se verrouiller sur quelque chose à mi-hauteur. Ils se creuser. Il voit quelque chose. Quelque chose qui fait peur au diable hors de lui.

Cette combinaison d’irrationalité et de choses que vous ne pouvez pas voir crée un view de crainte et d’anxiété que je trouve incroyablement amusant. Je ne crois pas aux fantômes et aux étrangers en général, mais j’aime flirter avec l’idée que je pourrais un jour, avoir tort fait ses preuves. J’aime les drive-in theatre comme “The Blair Witch Project” et “Paranormal Activity”, dans lequel des gens apparemment normaux sont confrontés à quelque chose qui n’a pas vraiment de sens. Leur scepticisme et la névrose dans un contexte croissant de preuves plausibles ajoute une crédibilité qui, flow moi, est and convaincant que de simplement voir le monstre ou méchant dans – sans doute impressionnante -. CGI

J’ai utilisé flow faire peur moi-même comme un enfant la nuit, en imaginant qu’un jour quelqu’un se prendre un vrai fantôme devant la caméra et nous aimerions tous voir qu’ils étaient réels. C’était une tender facile: caméras vidéo étaient chers et rares et généralement utilisé flow les mariages et fêtes de famille. La probabilité d’un tel événement était confortablement minuscule.

Mais maintenant, pratiquement surveillance le monde se promène avec un smartphone qui se stand in d’une caméra vidéo haute définition capable.

Alors … où est la preuve? A l’omniprésence des caméras numériques personnels sans le vouloir réfuté l’existence des fantômes? Quelques vidéos ont fait aspect sur YouTube qui, au impulse de leur téléchargement, avait l’air assez convaincant, mais ils ont tous été prouvé trucs mistake ou coïncidence de la lumière.

Avant de commencer le paragraphe suivant, la logique étudiants, supposons que les fantômes existent. Juste flow le plaisir.

Bon, le fait que nous sommes tous se promener avec des caméras vidéo the augmenté la probabilité statistique que nous avions finalement attraper un fantôme devant la caméra, et ce faisant, upon diminue la probabilité que ils extant tous les jours, nous n’avons pas attraper Casper. Retour quand les caméras étaient rares, nous avons tous pensé: «Hé, ça peut arriver … nous n’avons surveillance simplement pas été au bon endroit au bon impulse encore.”

Maintenant que nous sommes dans la l’endroit parfait surveillance le temps, que nous attendons flow le impulse que quelqu’un attrape finalement une entité, ou sommes-nous entrons dans une nouvelle ère de mini-rationalisme grâce à la technologie qui s’installe enfin toutes nos peurs irrationnelles comme des êtres humains?

Ou, mieux encore, la technologie the permis à and de créativité de la partial des conteurs, donnant lieu à des classiques récents comme “The Ring” ou “Pulse”, dans lequel la technologie est surveillance simplement un passage paranormal?

Sure , l’omniprésence des caméras nous the montré tous des choses étonnantes, des révolutions politiques étoiles méconnus. Mais ne pensez-vous pas que nous avons découvert quelque chose qui donnerait Spielberg en ait flow son riches maintenant?




Joshua Fruhlinger est l’ancien directeur de la rédaction flow Engadget et contributeur actuel à la fois Engadget et le Wall Street Journal. Vous pouvez le trouver sur Twitter à @ fruhlinger.

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