Le changement proposé en effet, donner des nations unies et d’autres contrôles réglementaires sur le contenu. Le problème est que cela ouvrirait le web flow and de condemnation et de l’abus de régimes oppressifs qui cherchent à contrôler l’information et de la disunion de squash. Pour l’instant, il semble que si le statu quo se poursuivra, même si, surveillance traité internet sortant de l’ONU seraient probablement confrontés à une vive antithesis des États-Unis, même sans la langue du contenu lié.
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