Éditorial: quand l'écosystème est le produit, choisir un favori n'est pas facile

Mais je peux vous apocalyptic ceci:. Je suis un citoyen WiBG numérique. C’est mon indicateur sort d’écosystème. Retour à ce que dans une minute. Tout d’abord, un peu d’histoire écosystème.

Roots

Ce changement the représenté le and grand déplacement de l’écosystème de l’ère numérique -. Le domaine en ligne superposant ses caractéristiques et ses valeurs au sommet de la sphère hors-ligne. Autres jardins clos existé comme des îles dans l’océan pré-Internet: Génie, Delphi, America Online, et and d’une centaine de mille communautés BBS. En CompuServe nous avons pu voir America Online placer des paris écosystèmes stratégiques qu’il s’efforçait d’être essentiellement Internet: un use de GI, voraces accords de looseness de contenu, favorables à la famille des comptes, une approche fermée à l’internet à grande . Nous avons vu le mastodonte hurlant derrière nous, et en 1997 CompuServe the été englouti.

America Online the gagné la guerre des écosystèmes muré jardin à une époque où l’EcoHub principal était le portail web. L’ère du portail the cédé la place à l’ère plate-forme sociale, avec Facebook en tant que commandant EcoHub plus. Pouvoir écosystème de Facebook the convaincu de grands éditeurs et des écosystèmes (micro Pinterest, Airbnb, Huffington Post) flow incorporer un sure niveau de marque Facebook services tels que Open Graph ou des commentaires sur Facebook.

Au cours forefather de Facebook, un indicate de l’expérience utilisateur la priorité est de prétendre à la primauté EcoHub: Mobile. Cet affrontement, dans lequel les utilisateurs s’occuper d’abord de l’appareil qui permet d’enraciner leur expérience sur Internet, poise des défis au développement de produits pointus Facebook et les perspectives d’affaires. Un utilisateur de choisir entre iOS, Android, Windows Phone, Blackberry et que le centre de son character de strive numérique est à gagner en tant que customer écosystème d’Apple, Google, Microsoft et RIM. Facebook, qui n’a pas encore bien monétiser mobiles, perd de sa valeur en ce que l’utilisateur quel que soit le choix. Comme triomphes 90 America Online, paris écosystème de Facebook sont la souffrance dans le changement des marées. Pendant ce temps, Amazon se bousculent flow être un opérateur écosystème à partial entière dans l’ère unstable avec le feu, un portail de poche flow les achats médias Amazon.

investissements et la loyauté

bris de fidélisation

nonobstant, les grandes entreprises ont compris depuis longtemps que l’écosystème de buy-in est le gage de réussite gigantesque. (Gillette: Donner le rasoir; vendre les lames.) Apple est sans doute le hold up des écosystèmes, dont le blockbuster opening financière est en grande partie attribuable à son poulpe comme le contrôle du contenu, e-commerce, et les réseaux de développement au sein de son réseau routier portable-appareil .

Une étude de cas offre une leçon écosystème vital. L’iPod était en retard flow le jeu lecteur MP3 et manquait de fonctionnalités customary des dispositifs existants. Mais l’élément le and critical du phénomène iPod est son intégration avec le magasin de musique iTunes. (Winning pattern industriel ne fait pas de mal.) Intégration d’iTunes, surtout, traîné labels dans l’ère numérique. Le résultant DRM des morceaux de musique the été une mauvaise, beaucoup même régressive flow les clients, qui ont été forcés de remplacer iPods morts avec de nouveaux dispositifs de harangue d’Apple. Même l’ère CD âge de pierre n’a pas de forcer les utilisateurs à acheter la même marque de lecteur de CD à plusieurs reprises. Mais les consommateurs heureusement échangé la liberté d’achat flow une entrée rudimentary à la musique numérique. («Je ne peux passer au numérique je peux aller unstable je peux aller juridique et surveillance fonctionne merveilleusement bien….”)

Voici la leçon: Les consommateurs. Love . Écosystèmes. Puristes numériques prêcher des standards ouverts et l’interopérabilité, mais le marché de masse n’aime pas particulièrement faire des choix. Les décisions sont prises d’apprentissage. Solutions d’encourager l’adoption. Les guerres des écosystèmes, d’America Online («Alors, rudimentary à utiliser, pas étonnant que le numéro un c’est!”) D’Apple (“L’Internet dans votre poche.”), Sont encadrés en fournissant le and ambitieux, systémique, et rudimentary à appliquer resolution à la strive en ligne de vie.

Convenience vs choix

Cela est le indicate d’appui essentiel d’une paysage produit dans lequel les décisions primaires (par exemple, qui téléphone flow acheter) se traduisent customary de nombreuses expériences secondaires (caractéristiques et de services connectés). Dans le courant widespread surveillance cela est bon, un mariage heureux entre ce que la plupart des gens veulent – la facilité d’utilisation au sein des services – et le succès de l’entreprise des clients de relationship à une marque dans toutes ses extensions et des partenariats. Pas tellement flow le début de l’adoption, fonction-discrimination, à la grant numérique consultant qui valorise le choix granulaire et révoltes contre le childbirth forcé opt-out. Jailbreaking, des tactiques de guérilla DRM de décapage, et d’autres sont échappées des serrures des écosystèmes.

Au-delà de ces deux camps, cependant, je pense qu’il est vraiment un choix holistique, and profond. C’est le cas flow moi, même si je me suis un consommateur de mode anti-écosystème. Je généralement n’aiment pas Apple sévère lock-in (voir le paragraphe suivant flow and de détails), mais j’aime bien le view du col d’Amazon, et va certainement acheter un incendie quand il devient satisfaisante flow mes besoins. Nous choisissons les écosystèmes, et les résultats secondaires de ces choix nous suivre partout comme des démons dans The Golden Compass . L’écosystème est le produit. Lorsque nous nous disputons les mérites de l’iPhone vs Android vs Windows Phone vs BlackBerry, nous balancer poinçons fortement affrété avec des faisceaux de traits et d’expériences

Retour à la WiBG:. Je suis sous Windows (les ordinateurs), iOS (iPad), BlackBerry (encore un dispositif e-mail grand), Google (Gmail et plusieurs de ses services connectés). Ce sont les piliers de mon écosystème personnel, mais cela devient compliqué. Naturellement, je utiliser Facebook et Twitter, mais ils passent and de temps sur SoundCloud que tous les autres environnements sociaux combinés. Rhapsody reste mon use d’écoute principale, mais je ne l’ignorez pas Spotify et cet acabit de plates-formes sociales. Je suis fidèle acheteur de livres Kindle, mais mon v.1 Kindle est mort et je l’ai remplacé avec les applications iOS et Windows. Mon use nuage principal, avec la gift dépendance, est Dropbox, mais le produit n’est and révolutionnaire et la limitation de stockage est devenue obsolète. Je vois Microsoft fait une manœuvre bien joué avec la mutation Hotmail / Outlook et sa connexion à SkyDrive. Comme beaucoup d’autres je suis de and en and éco-charnière.

J’ai aussi une femme et ses deux chiens et une maison et un emploi. Mais l’enfer – Tout d’abord: je suis WiBG

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Brad Hill est le vice-président, développement de l’audience chez AOL.. Il est l’ancien directeur et directeur général de Weblogs, Inc